
« Comme les Variations, de Blutch, Les Damnés de la Commune témoignent de la formidable vitalité de la bande dessinée et de sa capacité à explorer différents langages graphiques, au service de propos les plus divers. Ici, Raphaël Meyssan s’attache à une figure méconnue de la Commune, un certain Lavalette, dont le narrateur découvre qu’il a habité dans son immeuble de Belleville. En reconstituant sa biographie, Meyssan revient sur les grandes heures du soulèvement parisien en s’appuyant exclusivement sur des gravures et des extraits de journaux de l’époque. Une démarche qui renouvelle le discours historique de manière radicale et fascinante. »
Le Point du 14 décembre 2017